Rachialgies discales dites communes
La théorie de la responsabilité de l’arthrose dans les rachialgies et celle du conflit disco-radiculaire, sont fortement ébranlées par le fait que l’arthrose cervicale est un constat anatomo-radiologique, ce n’est pas un diagnostic. Il n’est pas acquis que les lésions arthrosiques génèrent les cervicalgies dont souffrent les patients.
Il n’y a pas plus de discopathie chez les gens qui ont mal au dos que chez les autres .
Il n’y a pas plus de discopathie chez les gens qui ont mal au dos que chez les autres .
A partir du concept de conflit disco-radiculaire a été établi celui de rachialgie d’origine discale.
Lumbalgies
· Leur incidence est de 10 %.
· 70 % des sujets en âge de travailler, en ont été victime au moins une fois dans leur vie.
Elles représentent 6 000 000 de consultations annuelles.
Elles causent la perte de 3 600 000 journées de travail par an.
· 7 % des arrêts de travail en résulte.
· 2,5 % des prescriptions médicamenteuses.
· 8 % des examens radiologiques.
· 30 % des ordonnances de rééducation.
· 8 000 000 000 Francs de coût financier global.
· 110 000 accidents de travail avec une durée moyenne d’arrêt de travail de 33 jours
· Des séquelles dans 9 000 cas avec un taux moyen de 8 %.
Un Français débourse en moyenne 1722 Euros par an..
Syndrome douloureux rachidien
Il est dominé par la contracture paravertébrale avec raideur du rachis et perte de la courbure physiologique ; c’est le lumbago au niveau lombaire ou le torticolis au niveau cervical, et la douleur provoquée par la percussion d’une épineuse ou la pression ponctuelle des masses musculaires para-vertébrales
La manutention.
Elle est à l’origine de 30 % des accidents du travail et représente 8 millions de journées de travail perdues
Le levage
Le levage des charges lourdes occasionne des contraintes qui ajoutent l’effet de décélération rapide qui survient à la fin d’un mouvement en entraînant une hyper-pression discale instantanée qui peut faire migrer un fragment nucléaire dans une fissure annulaire, à des vibrations de basse fréquence transmises au rachis qui accélèrent le processus de dégénérescence discale.
Lumbalgie Statistique
La prévalence annuelle est de 35 à 50 % de la population avec une prévalence sur la vie entière de 60 %.
La lumbalgie toutes origines confondues est responsable en France de 110 000 arrêts de travail représentant 3,5 millions de journées.
Ont été reconnues comme facteurs de risque professionnel, les contraintes biomécaniques au travail, les vibrations du corps entier, et les postures prolongées.
Statistiques
Les infirmières et les aide soignantes (ASH) font partie des professions les plus touchées par les lumbalgies avec une prévalence de 37 %.
Lumbalgies de l’enfant Rachialgies en milieu scolaire X
80 % des élèves de 17 à 19 ans, présentent ou ont présenté des algies rachidiennes qualifiées de continuelles dans 15 % des cas.
Durant l’année scolaire 1990/91, la prévalence des rachialgies relevées a été de 51,7 % avec lombalgies dans 36,8 %, et 58,1 % chez les filles.
Lombalgie discale commune de l’adulte Elle traduit la mise en tension des fibres postérieures les plus superficielles de l’anneau fibreux qui sont les seuls à être innervés.
Cette mise en tension est le fait d’une mauvaise répartition des pression intra-discales, elles même consécutives à des phénomènes dégénératifs.
Cette détérioration structurelle du disque comporte essentiellement un engagement du nucleus pulposus dans les fentes radiées de l’annulus.
Les épisodes d’engagement se manifesteraient par des lombalgies aiguës tandis que la mise en tension permanente des structures innervées explique la lombalgie chronique.
La lombalgie aiguë.
La douleur en est due à une stimulation intense des nocicepteurs locaux,.
Chaque contrainte mécanique rachidienne doit immédiatement être contrôlée par une réponse musculaire adaptée.
Il s’agit à la fois de réponse motrice à l’accélération ou au freinage des mouvements rachidiens pour éviter les risques de blocage et de réponse correctrice pour le déséquilibre de la statique.
La douleur lombaire est commune à beaucoup de mécanismes pathologiques et la multiplicité des traitements témoigne de leur efficacité inconstante ou incomplète.
La lombalgie chronique.
La douleur en est dite neurogène car elle dépend d’une hyper-excitabilité des récepteurs périphériques, d’une sensibilisation du système nerveux central à ses différents niveaux y compris cortical, d’une diminution de l’action inhibitrice des contrôles d’origine supra-spinale.
En cas de lumbalgie aiguë, le traitement doit réduire l’hyper-stimulation des nocicepteurs locaux alors que dans la lombalgie chronique, le traitement doit diminuer la sensibilisation périphérique et désensibiliser les neurones spinaux de la douleur.
Lumbago de l’adulte
Guérissant spontanément dans la majorité des cas, en 7 à 10 jours, sa récidive aléatoire et peu fréquente, dans une petite proportion des cas, lumbago récidivant plusieurs fois par an.
Le lumbago de l’adulte est la plus commune et la plus fréquente des douleurs aiguës de la région lombaire.
Hyperalgique, il impose le décubitus pendant 2 à 3 jours.
Des crises brèves de 48 heures peuvent être ambulatoires voire indolores, se traduisant uniquement par une attitude antalgique souvent chez l’adolescent.
L’incidence des sciatiques dans cette population est à peine plus fréquente que dans la population générale.
Lumbago.
· Syndrome rachidien
Général avec attitude antalgique en cyphose ou baïonnette où la réduction est douloureuse voire impossible.
Local : la palpation latérale des épineuses du ligament inter-épineux et des articulaires postérieures entraînent une douleur, les muscles paravertébraux sont très contractés.
· Syndrome duremérien.
Il est lié à la protrusion discale : l’exacerbation de la douleur se produit lors de la mobilisation du fourreau dural vers le haut lors de la flexion du cou vers le bas, lors de l’élévation des membres inférieurs tendus.
Test de SCHÖBER.
On repère l ‘apophyse épineuse de L5 et on la marque sur la peau.
On mesure sur le sujet debout, le point situé à 10 cm au dessus, et on le marque
Lors de l’ante-flexion, cette distance atteint 15 cm chez le sujet normal.
Lumbalgies chroniques par arthrose inter-articulaire postérieure.
La lombalgie est dans ce cas attribuée aux contraintes et déformations entraînées par le processus arthrosique avec irritation des rameaux nerveux passant à son contact.
Entorses discales
L’articulation intervertébrale répond aux agressions traumatiques de la même façon que les articulations périphériques.
Embryologiquement,
Les plateaux vertébraux encroûtés de cartilage sont réunis par un ligament interosseux qui est une modification du tissu conjonctif originel organisé à la 8ème semaine de la vie fœtale ;
Dès 1978, RABISCHONG constate qu’il n’y a pas d’opposition entre les éléments constitutifs du ligament intervertébral et parle de zone centrale et périphérique à la place du noyau pulpaire et de l’anneau fibreux du disque.
La lombalgie basse d’origine haute de MAIGNE.
S’explique par le fait que les plans cutanés lombaires bas et fessiers supérieurs sont innervés par les branches postérieures de D11 et D12.
Les lombalgies basses sont d’origine dorso-lombaire dans 30 % des cas projetées par un syndrome de la charnière dorso-lombaire, le long du rameau postérieur D11 D12 ou D12 L1
Dorsalgies Dorsalgies aiguës mécaniques.
Elles réalisent au rachis dorsal l’équivalent de la lumbalgie aiguë par engagement discal.
Dorsalgies aiguës d’origine discale.
· Nucléopathie calcifiante
· Hernie discale dorsale.
·
Dorsalgies aiguës bénignes.
· Dorsago de DE SEZE
· Dorsago a frigore
· Dorsalgies aiguës en éclair de MAIGNE Survenant par crise, pouvant être déclenchées une inspiration profonde par crampes du grand dorsal.
·
Les discopathies dorsales.
Les altérations de l’anneau fibreux du disque chez les quinquagénaires masculins engendrent des dorsalgies locales, des semaines ou des mois avant l’apparition d’une hernie discale ;
Les protrusions discales postérolatérales peuvent comprimer une racine pour induire une douleur pariétale thoracique unilatérale dans le dermatome correspondant.
Protrusion discale
La découverte de protrusion discale chez un patient souffrant d’une lumbalgie risque de relever de la pure coïncidence.
Cervicalgies Cervicalgie aiguë
Un D.I.M., puis une contracture musculaire secondaire augmente et domine la scène clinique en impliquant une attitude antalgique en flexion - inclinaison- rotation.
Cervicalgies.
Inflammatoires, infectieuses, tumorales
Métastatique
Infectieuse
Inflammatoire dont les calcifications discales ligamentaires ou musculaires de l’enfant
Arthrosique
Artérielle.
Mécaniques
Cervicalgies par canal cervical étroit congénital ou secondairement rétréci
Post-traumatiques
Macro-traumatique
· Commune
· Par D.I.M
Micro-traumatique
· De surtension musculaire par micro-traumatismes répétés.
Accompagnatrices d’autres symptômes
· Posturale bénigne
· Réflexe des infections de la face.
· Fonctionnelles des troubles visuels et de leur correction
· Fonctionnelles et SADAM
· Fonctionnelles séquellaires
· Fonctionnelles des dysmétabolismes et dérangements musculaires
· Psychosomatique.
·
Le torticolis aigu.
Il peut-être symptomatique d’une tumeur de la fosse postérieure.
Les victimes ont une particularité : elles font des erreurs de jugement sur la position de leur corps dans l’espace :
Tête et tronc bloqués dans le même axe, sujets normaux et victimes d’un torticolis devant pointer la direction droit devant à l’aide d’un stylo laser.
La réponse est similaire si la chaise sur laquelle ils sont assis tourne sur un axe restant sur la même ligne verticale.
La réponse diffère si l’on imprime une rotation du tronc, la tête restant fixée.
Il s’agit d’une anomalie de réception des informations proprioceptives distales et des signaux vestibulaires.
Lumbalgies
· Leur incidence est de 10 %.
· 70 % des sujets en âge de travailler, en ont été victime au moins une fois dans leur vie.
Elles représentent 6 000 000 de consultations annuelles.
Elles causent la perte de 3 600 000 journées de travail par an.
· 7 % des arrêts de travail en résulte.
· 2,5 % des prescriptions médicamenteuses.
· 8 % des examens radiologiques.
· 30 % des ordonnances de rééducation.
· 8 000 000 000 Francs de coût financier global.
· 110 000 accidents de travail avec une durée moyenne d’arrêt de travail de 33 jours
· Des séquelles dans 9 000 cas avec un taux moyen de 8 %.
Un Français débourse en moyenne 1722 Euros par an..
Syndrome douloureux rachidien
Il est dominé par la contracture paravertébrale avec raideur du rachis et perte de la courbure physiologique ; c’est le lumbago au niveau lombaire ou le torticolis au niveau cervical, et la douleur provoquée par la percussion d’une épineuse ou la pression ponctuelle des masses musculaires para-vertébrales
La manutention.
Elle est à l’origine de 30 % des accidents du travail et représente 8 millions de journées de travail perdues
Le levage
Le levage des charges lourdes occasionne des contraintes qui ajoutent l’effet de décélération rapide qui survient à la fin d’un mouvement en entraînant une hyper-pression discale instantanée qui peut faire migrer un fragment nucléaire dans une fissure annulaire, à des vibrations de basse fréquence transmises au rachis qui accélèrent le processus de dégénérescence discale.
Lumbalgie Statistique
La prévalence annuelle est de 35 à 50 % de la population avec une prévalence sur la vie entière de 60 %.
La lumbalgie toutes origines confondues est responsable en France de 110 000 arrêts de travail représentant 3,5 millions de journées.
Ont été reconnues comme facteurs de risque professionnel, les contraintes biomécaniques au travail, les vibrations du corps entier, et les postures prolongées.
Statistiques
Les infirmières et les aide soignantes (ASH) font partie des professions les plus touchées par les lumbalgies avec une prévalence de 37 %.
Lumbalgies de l’enfant Rachialgies en milieu scolaire X
80 % des élèves de 17 à 19 ans, présentent ou ont présenté des algies rachidiennes qualifiées de continuelles dans 15 % des cas.
Durant l’année scolaire 1990/91, la prévalence des rachialgies relevées a été de 51,7 % avec lombalgies dans 36,8 %, et 58,1 % chez les filles.
Lombalgie discale commune de l’adulte Elle traduit la mise en tension des fibres postérieures les plus superficielles de l’anneau fibreux qui sont les seuls à être innervés.
Cette mise en tension est le fait d’une mauvaise répartition des pression intra-discales, elles même consécutives à des phénomènes dégénératifs.
Cette détérioration structurelle du disque comporte essentiellement un engagement du nucleus pulposus dans les fentes radiées de l’annulus.
Les épisodes d’engagement se manifesteraient par des lombalgies aiguës tandis que la mise en tension permanente des structures innervées explique la lombalgie chronique.
La lombalgie aiguë.
La douleur en est due à une stimulation intense des nocicepteurs locaux,.
Chaque contrainte mécanique rachidienne doit immédiatement être contrôlée par une réponse musculaire adaptée.
Il s’agit à la fois de réponse motrice à l’accélération ou au freinage des mouvements rachidiens pour éviter les risques de blocage et de réponse correctrice pour le déséquilibre de la statique.
La douleur lombaire est commune à beaucoup de mécanismes pathologiques et la multiplicité des traitements témoigne de leur efficacité inconstante ou incomplète.
La lombalgie chronique.
La douleur en est dite neurogène car elle dépend d’une hyper-excitabilité des récepteurs périphériques, d’une sensibilisation du système nerveux central à ses différents niveaux y compris cortical, d’une diminution de l’action inhibitrice des contrôles d’origine supra-spinale.
En cas de lumbalgie aiguë, le traitement doit réduire l’hyper-stimulation des nocicepteurs locaux alors que dans la lombalgie chronique, le traitement doit diminuer la sensibilisation périphérique et désensibiliser les neurones spinaux de la douleur.
Lumbago de l’adulte
Guérissant spontanément dans la majorité des cas, en 7 à 10 jours, sa récidive aléatoire et peu fréquente, dans une petite proportion des cas, lumbago récidivant plusieurs fois par an.
Le lumbago de l’adulte est la plus commune et la plus fréquente des douleurs aiguës de la région lombaire.
Hyperalgique, il impose le décubitus pendant 2 à 3 jours.
Des crises brèves de 48 heures peuvent être ambulatoires voire indolores, se traduisant uniquement par une attitude antalgique souvent chez l’adolescent.
L’incidence des sciatiques dans cette population est à peine plus fréquente que dans la population générale.
Lumbago.
· Syndrome rachidien
Général avec attitude antalgique en cyphose ou baïonnette où la réduction est douloureuse voire impossible.
Local : la palpation latérale des épineuses du ligament inter-épineux et des articulaires postérieures entraînent une douleur, les muscles paravertébraux sont très contractés.
· Syndrome duremérien.
Il est lié à la protrusion discale : l’exacerbation de la douleur se produit lors de la mobilisation du fourreau dural vers le haut lors de la flexion du cou vers le bas, lors de l’élévation des membres inférieurs tendus.
Test de SCHÖBER.
On repère l ‘apophyse épineuse de L5 et on la marque sur la peau.
On mesure sur le sujet debout, le point situé à 10 cm au dessus, et on le marque
Lors de l’ante-flexion, cette distance atteint 15 cm chez le sujet normal.
Lumbalgies chroniques par arthrose inter-articulaire postérieure.
La lombalgie est dans ce cas attribuée aux contraintes et déformations entraînées par le processus arthrosique avec irritation des rameaux nerveux passant à son contact.
Entorses discales
L’articulation intervertébrale répond aux agressions traumatiques de la même façon que les articulations périphériques.
Embryologiquement,
Les plateaux vertébraux encroûtés de cartilage sont réunis par un ligament interosseux qui est une modification du tissu conjonctif originel organisé à la 8ème semaine de la vie fœtale ;
Dès 1978, RABISCHONG constate qu’il n’y a pas d’opposition entre les éléments constitutifs du ligament intervertébral et parle de zone centrale et périphérique à la place du noyau pulpaire et de l’anneau fibreux du disque.
La lombalgie basse d’origine haute de MAIGNE.
S’explique par le fait que les plans cutanés lombaires bas et fessiers supérieurs sont innervés par les branches postérieures de D11 et D12.
Les lombalgies basses sont d’origine dorso-lombaire dans 30 % des cas projetées par un syndrome de la charnière dorso-lombaire, le long du rameau postérieur D11 D12 ou D12 L1
Dorsalgies Dorsalgies aiguës mécaniques.
Elles réalisent au rachis dorsal l’équivalent de la lumbalgie aiguë par engagement discal.
Dorsalgies aiguës d’origine discale.
· Nucléopathie calcifiante
· Hernie discale dorsale.
·
Dorsalgies aiguës bénignes.
· Dorsago de DE SEZE
· Dorsago a frigore
· Dorsalgies aiguës en éclair de MAIGNE Survenant par crise, pouvant être déclenchées une inspiration profonde par crampes du grand dorsal.
·
Les discopathies dorsales.
Les altérations de l’anneau fibreux du disque chez les quinquagénaires masculins engendrent des dorsalgies locales, des semaines ou des mois avant l’apparition d’une hernie discale ;
Les protrusions discales postérolatérales peuvent comprimer une racine pour induire une douleur pariétale thoracique unilatérale dans le dermatome correspondant.
Protrusion discale
La découverte de protrusion discale chez un patient souffrant d’une lumbalgie risque de relever de la pure coïncidence.
Cervicalgies Cervicalgie aiguë
Un D.I.M., puis une contracture musculaire secondaire augmente et domine la scène clinique en impliquant une attitude antalgique en flexion - inclinaison- rotation.
Cervicalgies.
Inflammatoires, infectieuses, tumorales
Métastatique
Infectieuse
Inflammatoire dont les calcifications discales ligamentaires ou musculaires de l’enfant
Arthrosique
Artérielle.
Mécaniques
Cervicalgies par canal cervical étroit congénital ou secondairement rétréci
Post-traumatiques
Macro-traumatique
· Commune
· Par D.I.M
Micro-traumatique
· De surtension musculaire par micro-traumatismes répétés.
Accompagnatrices d’autres symptômes
· Posturale bénigne
· Réflexe des infections de la face.
· Fonctionnelles des troubles visuels et de leur correction
· Fonctionnelles et SADAM
· Fonctionnelles séquellaires
· Fonctionnelles des dysmétabolismes et dérangements musculaires
· Psychosomatique.
·
Le torticolis aigu.
Il peut-être symptomatique d’une tumeur de la fosse postérieure.
Les victimes ont une particularité : elles font des erreurs de jugement sur la position de leur corps dans l’espace :
Tête et tronc bloqués dans le même axe, sujets normaux et victimes d’un torticolis devant pointer la direction droit devant à l’aide d’un stylo laser.
La réponse est similaire si la chaise sur laquelle ils sont assis tourne sur un axe restant sur la même ligne verticale.
La réponse diffère si l’on imprime une rotation du tronc, la tête restant fixée.
Il s’agit d’une anomalie de réception des informations proprioceptives distales et des signaux vestibulaires.
Myélopathie cervicarthrosique.
Affection médullaire la plus fréquente après 40 ans, elle est rare, ne touchant préférentiellement chez l’homme, que 0,5 % des sujets ayant une arthrose cervicale.
La sténose peut être
Constitutionnelle dans 5 % de la population
Ou acquise.
Dans ce canal rétréci, la moelle se déforme et s’aplatit.
La claudication médullaire décrite en 1906 par DEJERINE donne une gène à la marche, décrite comme une fatigue avec lourdeur et raideur des membres inférieurs commençant ou prédominant d’un côté et constituant le premier symptôme.
La myélopathie compressive par son contenant la colonne avec les vertèbres et les disques fait l’urgence.
L’association : syndrome lésionnel, névralgie cervico-brachiale et syndrome sous-lésionnel constitue la symptomatologie.
Les signes pyramidaux médullaires cervicaux sont présents aux membres supérieurs avec un signe de HOFFMAN, et un réflexe palmo-mentonnier.
Elle donne une atteinte pyramidale.
Celle ci est d’abord unilatérale, plus nette après l’effort, diminuée par le repos prolongé avec atteinte motrice modérée, hypertonie spastique des fléchisseurs des racines enraidissant les membres inférieurs avec présence du signe de BABINSKI,
Elle génère une amyotrophie neurogène périphérique et un trouble sensitif superficiel.
Ainsi qu’une atteinte cordonale postérieure avec trouble sensitif profond de la sensibilité vibratoire.
Hernie discale cervicale
Hernie discale cervicale : celle du sujet jeune, dite molle c’est à dire. faite de matière discale non calcifiée ont en règle d’évolution la régression,et leur disparition complète est fréquente.
Affection médullaire la plus fréquente après 40 ans, elle est rare, ne touchant préférentiellement chez l’homme, que 0,5 % des sujets ayant une arthrose cervicale.
La sténose peut être
Constitutionnelle dans 5 % de la population
Ou acquise.
Dans ce canal rétréci, la moelle se déforme et s’aplatit.
La claudication médullaire décrite en 1906 par DEJERINE donne une gène à la marche, décrite comme une fatigue avec lourdeur et raideur des membres inférieurs commençant ou prédominant d’un côté et constituant le premier symptôme.
La myélopathie compressive par son contenant la colonne avec les vertèbres et les disques fait l’urgence.
L’association : syndrome lésionnel, névralgie cervico-brachiale et syndrome sous-lésionnel constitue la symptomatologie.
Les signes pyramidaux médullaires cervicaux sont présents aux membres supérieurs avec un signe de HOFFMAN, et un réflexe palmo-mentonnier.
Elle donne une atteinte pyramidale.
Celle ci est d’abord unilatérale, plus nette après l’effort, diminuée par le repos prolongé avec atteinte motrice modérée, hypertonie spastique des fléchisseurs des racines enraidissant les membres inférieurs avec présence du signe de BABINSKI,
Elle génère une amyotrophie neurogène périphérique et un trouble sensitif superficiel.
Ainsi qu’une atteinte cordonale postérieure avec trouble sensitif profond de la sensibilité vibratoire.
Hernie discale cervicale
Hernie discale cervicale : celle du sujet jeune, dite molle c’est à dire. faite de matière discale non calcifiée ont en règle d’évolution la régression,et leur disparition complète est fréquente.