La somatométrie canon
Dans la nature, la symétrie n’étant jamais atteinte, cette imperfection est neutralisée partiellement par des attitudes compensatoires de la tête et du squelette .
Les muscles extrinsèques des yeux sont sollicités au premier chef.
Les muscles extrinsèques des yeux sont sollicités au premier chef.
Le visage de type canon est un étalon théorique
1ère Loi
Toutes les dimensions du visage canon sont issues du système oculo-palpébral
2ème Loi
Toutes les issues sensorielles du visage canon sont en conjonction par des vecteurs et des harmoniques parfaitement symétriques.
Bien plus la typologie basée sur les caractéristiques morphologiques étudie les rapports entre le corps, sa structure sa forme, et la personnalité psychologique du sujet.
A partir d’HIPPOCRATE, de nombreuses classifications ont été établies jusqu’aux théories modernes qui reprennent cette conception bimillénaire mais bien plus permet de comprendre par les relations entre anatomie et physiologie des peauciers, muscles qui sont mis en jeu lors de la mimique elle-même en rapport avec les émotions, l’interaction que ceux ci peuvent avoir avec l’ensemble du système tonique postural.
Une anomalie une perturbation, une asymétrie faciale peuvent être fixées à partir de modification de la mimique en fonction des directions de contraction des muscles peauciers fixant par traction permanente anormale sur leurs insertions osseuses des modifications structurelles de ceux ci.
Il en résulte une asymétrie posturale plus moins fixée et l’on comprend alors l’extrême importance que peut revêtir une asymétrie de l’étage supérieur ou frontal du visage qui partant de la racine des cheveux et allant jusqu’aux sourcils, façonnent tout comme la zone médiane qui part des sourcils pour aller jusqu’à la base du nez, la relation au monde extérieur avec ses différentes composantes bien connue de tous les auteurs ayant effectué des travaux analytiques sur le visage, la sociabilité, l’affectivité, l’émotivité, la réaction, le style de relation, le besoin de relation.
A partir de ses modifications morphologiques de l’extérocapteur oculaire, les modifications induites sur les muscles oculomoteurs, l’ensemble de la posture va s’en trouver modifier avec des caractéristiques qui seront retrouver chez les patients présentant ces mêmes anomalies tant sur le plan physique que sur le plan psycho-émotionnel.
Cette explication psychosomatique a le mérite d’expliquer la constance des troubles en fonction de la typologie.
La zone inférieure du visage qui va de la base du nez à la pointe du menton, est la zone de l’activité manifestée et de l’affirmation de soi, des intérêts sensoriels et des instincts.
C’est dans cette zone que l’on trouve les extérocepteurs ou extérocapteurs du système manducateur ;
Le plus important est en fait l’équilibre des 3 zones auquel correspond toujours un certain équilibre de la personnalité.
Cette base étalon codée permet de situer un sujet dans une cartographie très précise
Pour construire un visage canon, on s’applique à placer les yeux de manière à ce qu’ils soient absolument symétriques par rapport à l’axe facial, qu’ils soient de niveau, que dans le sens sagittal, leur position soit située dans un plan précis.
· Le 1er vecteur qui sert à la construction de la face est la dimension latérale de la fente palpébrale, fixée à 30 mm.
· Elle est contenue 5 fois entre les deux sillons auriculaires supérieurs.
· Les yeux sont situés sur une horizontale qui sépare le tête en deux parties égales.
· Il y aura donc 150 mm d’un sillon auriculaire supérieur à l’autre.
· Le centre de la pupille est la base pour trouver la position du plancher nasal à 60 mm sur l’axe.
· La bouche se situe 30 mm plus bas.
Cette théorie architecturale du visage est due à R. MERCIER
Toutes les dimensions du visage canon sont issues du système oculo-palpébral
2ème Loi
Toutes les issues sensorielles du visage canon sont en conjonction par des vecteurs et des harmoniques parfaitement symétriques.
Bien plus la typologie basée sur les caractéristiques morphologiques étudie les rapports entre le corps, sa structure sa forme, et la personnalité psychologique du sujet.
A partir d’HIPPOCRATE, de nombreuses classifications ont été établies jusqu’aux théories modernes qui reprennent cette conception bimillénaire mais bien plus permet de comprendre par les relations entre anatomie et physiologie des peauciers, muscles qui sont mis en jeu lors de la mimique elle-même en rapport avec les émotions, l’interaction que ceux ci peuvent avoir avec l’ensemble du système tonique postural.
Une anomalie une perturbation, une asymétrie faciale peuvent être fixées à partir de modification de la mimique en fonction des directions de contraction des muscles peauciers fixant par traction permanente anormale sur leurs insertions osseuses des modifications structurelles de ceux ci.
Il en résulte une asymétrie posturale plus moins fixée et l’on comprend alors l’extrême importance que peut revêtir une asymétrie de l’étage supérieur ou frontal du visage qui partant de la racine des cheveux et allant jusqu’aux sourcils, façonnent tout comme la zone médiane qui part des sourcils pour aller jusqu’à la base du nez, la relation au monde extérieur avec ses différentes composantes bien connue de tous les auteurs ayant effectué des travaux analytiques sur le visage, la sociabilité, l’affectivité, l’émotivité, la réaction, le style de relation, le besoin de relation.
A partir de ses modifications morphologiques de l’extérocapteur oculaire, les modifications induites sur les muscles oculomoteurs, l’ensemble de la posture va s’en trouver modifier avec des caractéristiques qui seront retrouver chez les patients présentant ces mêmes anomalies tant sur le plan physique que sur le plan psycho-émotionnel.
Cette explication psychosomatique a le mérite d’expliquer la constance des troubles en fonction de la typologie.
La zone inférieure du visage qui va de la base du nez à la pointe du menton, est la zone de l’activité manifestée et de l’affirmation de soi, des intérêts sensoriels et des instincts.
C’est dans cette zone que l’on trouve les extérocepteurs ou extérocapteurs du système manducateur ;
Le plus important est en fait l’équilibre des 3 zones auquel correspond toujours un certain équilibre de la personnalité.
Cette base étalon codée permet de situer un sujet dans une cartographie très précise
Pour construire un visage canon, on s’applique à placer les yeux de manière à ce qu’ils soient absolument symétriques par rapport à l’axe facial, qu’ils soient de niveau, que dans le sens sagittal, leur position soit située dans un plan précis.
· Le 1er vecteur qui sert à la construction de la face est la dimension latérale de la fente palpébrale, fixée à 30 mm.
· Elle est contenue 5 fois entre les deux sillons auriculaires supérieurs.
· Les yeux sont situés sur une horizontale qui sépare le tête en deux parties égales.
· Il y aura donc 150 mm d’un sillon auriculaire supérieur à l’autre.
· Le centre de la pupille est la base pour trouver la position du plancher nasal à 60 mm sur l’axe.
· La bouche se situe 30 mm plus bas.
Cette théorie architecturale du visage est due à R. MERCIER